mardi 9 mai 2017

Banque : et si c’était la fin des distributeurs automatiques de billets ?

Notre monde va vite, très vite. 

Commercialement, les outils se développent aussi rapidement que la technologie et l'imagination de l'homme le permet.



Je fais parti de cette génération qui a connu le lancement de la carte à puces et son essor.

Je fais parti de cette génération qui a connu le lancement d'internet et son essor, ainsi que celui de la téléphonie mobile.


Je fais parti de cette génération qui a vu et connu les adaptations de la vie industrielle, liée aux innovations qui lui sont imposées depuis 35 ou 40 ans.



J'ai connu le passage du franc à l'euro, l'union de la banque de dépôt avec la banque d'affaire, de la banque de dépôt avec les marchés financiers et le trading.

Même si le côté geek du paiement par contact, téléphone ou carte, fait plus moderne quand on rentre dans une enseigne ou un établissement pour consommer, connaissant la vulnérabilité des serveurs, je fais au jour d'aujourd'hui beaucoup plus confiance dans un DAB pour avoir accès à de la liquidité qu'à un réseau téléphonique que n'importe quel bon Hacker peut faire sauter.


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Le mois prochain, on fêtera les cinquante ans du premier DAB, le distributeur automatique de billets, ouvert par la Barclays, au nord de Londres en juin 1967. 

En France, le premier automate fut installé l'année suivante, à la Société Marseillaise de Crédit, au tout début de la carte bleue, qui peina à décoller avant le milieu des années 1980 pour devenir le premier moyen de paiement des Français en 2003. 

Les machines se sont modernisées depuis mais, à l'heure du numérique, de la banque sur mobile et du paiement sans contact, qui laisse entrevoir un monde sans cash, les spécialistes du secteur s'interrogent sur « la fin des automates bancaires ».

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