lundi 12 juin 2017

Hung Parliament May Be 'Disaster' for U.K., Businesses Warn

Business optimism in the U.K. economy plunged after Theresa May’s Conservative Party lost its majority in Parliament, less than two weeks before talks start on exiting the European Union.


A survey of business leaders conducted over the weekend showed 57 percent are pessimistic about the prospects of Britain’s economy over the next year, according to the Institute of Directors.

That’s higher than when Britain voted in June last year to leave the EU and 43 percent of the executives were pessimistic, the business group said. “It is hard to overstate what a dramatic impact the current political uncertainty is having on business leaders, and the consequences could (if not addressed immediately) be disastrous for the U.K. economy,” said Stephen Martin, director general of the IoD in an emailed statement.

Read more, May called the snap election with a view to expand her previously slim majority and strengthen her hand for talks with the EU.

Éparpilles façon puzzle !!!

Bonjour à toutes et à tous.
Ces dernières semaines ne m'ont guère inspirées. L'actualité macro était plutôt sans grand intérêt. De la com essentiellement.
Quand à l'économie, les marchés financiers se portent bien, l'économie réelle se bat sur une trésorerie court-termiste. Même si beaucoup d'entreprises voient revenir la croissance dans leur carnet de commandes.

Pour le reste, résumons ainsi: élections, critiques, majorité, opposition, règlements de comptes électoralistes, luttes d'influence, lobbies en tous genres... ce triste sentiment que l'élitisme reste une partie de chasse peu intéressante à suivre et décrypter.



J'imaginais être plus interpellé par les législatives que par la présidentielle. Le fait est que non. On est juste submergé par une com indigeste permanente, qui rend la réflexion impossible.

Brexit et représentation nationale française, le bras de fer entre l'UE et le UK ne cesse de ne pas se finir.

La politique serait-elle devenue un plat de nantis qui se mange froid!!!

Une situation peu banale, un bilan qui ne fait pas forcément rêver:
- Macron a les pleins pouvoir et une totale légitimité institutionnelle.
- Si on regarde le scrutin présidentiel et législatif, le 1er parti de France reste l'abstention. 
Surprenant? Non, inquiétant !!!

Personnellement, et je me rends compte que je ne suis pas le seul, la présidentielle ne m'a pas inspirée plus que ça. Et ces législatives pas plus.
Ma plus grosse réflexion sur cette série d'élections, est l'instinct de l'électeur face au choix du candidat.  Beaucoup ne situent plus le candidat vis à vis d'une parti, mais surtout autour d'une personnalité, d'un tempérament, et surtout de l'image et de la réputation dans la presse.

Ce que j'attends de ce début de quinquennat?
Les hypothèses
- Un œil sur la dette: sortie des écrans radars depuis le débat présidentiel, la dette ne s'est pas arrêtée de croître avec l'arrivée de la nouvelle majorité

- L'emploi du privé: relancer les exportations, pour créer les conditions du salariat et de l'investissement, marché par marché, segment par segment.

Un calendrier pour appuyer mon argumentation:
- Octobre, rentrée parlementaire.
- Janvier, premiers rectificatifs au projet de loi de finance.

dimanche 11 juin 2017

Syria’s new war millionaires

AMID the ruins of Syria, Mohieddine Manfoush has carved out a kingdom built on cheese. An unremarkable man with 25 cows to his name before the conflict began, 

Mr Manfoush now has his own militia, a herd of 1,000 cattle and a company whose dairy products have become ubiquitous in Damascus.



For those with the right connections and an appetite for risk, the war has opened up lucrative sources of revenue. 

For Mr Manfoush, his new-found wealth is directly bound to the regime’s preferred tactic of siege warfare. This has proved effective at isolating, containing and strangling rebel redoubts into submission without consuming too much of the regime’s dwindling manpower. 

Read More Online, The sieges have generated lots of money, too.
Mr Manfoush’s cash cow has been the siege of Eastern Ghouta, a large rebel-held region east of Damascus.