Pour rester dans le même registre que l’un de mes précédents articles qui abordait le sujet du Brexit et de la loi El Khomri (cf lien ci-joint: MonOeil: BREXIT vs LoiElKhomri.... ou comment l' #Europe doute!!!), ma réflexion pour cet article porte sur le poids et le pouvoir de l’entreprise dans nos sociétés modernes.
Pour faire simple, que seraient nos sociétés au XXIème siècle, sans le secteur privé.
Quel serait le pouvoir d’achat et l’employabilité dans le monde sans l’entreprise et le secteur privé.
Une société basée sur le seul secteur publique, de type Cubas ou la Corée du Nord, ou comme le fut l’ex RDA et l’ex Union Soviétique, ont prouvé qu’elles étaient ou sont encore, des sociétés non productives. Même si leur niveau d’industrialisation fut reconnu, avec des entreprises et des marques liées à l’automobile, à la conquête spatiale, à l’immobilier, ce sont des programmes qui coûtent chers, qui doivent donc rencontrer le marché avec un taux de rentabilité et un rendement acceptable, aux antipodes du modèle économique qu’elles prônent.
Certes, les moins de 30 ans ont du mal à savoir de quoi je parle, n’ayant pas vécu la chute du mur de Berlin, ainsi que la guerre froide qui divisa l’Europe et le monde en deux pendant plus de 60 ans.
Mais si l’effondrement des régimes communistes s’est opérer sans résistance dans les années 80, c’est qu’il était basé sur un modèle économique et social fragile, que les richesses générées par le monde occidental et transatlantique n’a pas eu de mal à destabiliser.
Plus que l’économie de marché, c’est le pouvoir généré par l’esprit d’initiative d’un monde entrepreneurial libre qui le fit vaciller puis s’effondrer.
L’effondrement du monde communiste de l’Est et de l’Asie aura apporté son développement social, matériel et économique.
Une richesse du à l’initiative individuelle. Bon nombre de success story chinoise sont aujourd’hui à l’appel lorsqu’il s’agit de levées de fonds, de conquêtes de marchés, d’entreprises ayant franchi le cap de Wall Street.
Pour conclure cet édito, je souhaitais simplement rappeler oh combien les entreprises et le secteur privé sont un bien indispensable pour faire vivre nos démocraties, et que tuer l'initiative qui permet la création et le développement de ces dernières est un bien communautaire dont on ne peut se passer...
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