Le rapprochement entre Kodak et EDF peut paraître incongru et pourtant les similitudes sont nombreuses entre l'ex-champion de la photo qui détenait un quasi-monopole sur la pellicule et le fleuron français de l'énergie à la tête lui aussi d'un monopole qui pourrait ne plus exister d'ici quelques années.
En 1996, Kodak avait 140 000 salariés, 90% du marché gagnait 15 milliards d'euros par an.
En 2012, Kodak déposait le bilan.
EDF est aujourd’hui dans une même période charnière de son histoire. L’entreprise a deux choix: épuiser son business model jusqu’à la corde comme Kodak ou changer de cap.
Plus d'information: Le soleil n'envoie jamais sa facture
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire