À peine arrivé au G20, où il est censé fédérer une coalition favorable à l'intervention en Syrie, François Hollande est lâché par ses plus proches alliés de l'Union européenne.
«Il n'y a pas de solution militaire en Syrie», a insisté Herman Van Rompuy, le président de l'Union européenne.
«La solution doit être politique», et s'inscrire dans le cadre de l'ONU, a martelé le représentant de l'UE à Saint-Pétersbourg, appuyé par José Manuel Barroso, le président de la Commission.
Les dirigeants européens n'ont pas de mots assez durs pour qualifier l'attaque chimique du 21 août en Syrie, un «crime contre l'humanité», selon Herman Van Rompuy, mais ils refusent de donner leur caution à une intervention militaire.
Suite... La position allemande s'impose
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