Il y a comme ça des périodes dans la vie d’un homme ou le temps passe sans laisser de doute sur l’importance et la violence du moment et des faits qui s’y rattache !!!
En ce moment, je retrouve progressivement au fil de l’actualité, les sensations que me procurèrent jadis, quand je n’avais que 8 ou 10 ans, les lectures de livres tels que « A l’ouest rien de nouveau » ou encore « le jour le plus long ».
D’ailleurs ces deux titres trouvent parfaitement leur place dans l’actualité, un siècle plus tard. Cette littérature, qui me semblait absurde à l’époque, revêt aujourd’hui un tout autre message. Internet nous permet de suivre quasiment d’heure les exactions qui se passent à quelques milliers de KM de nous.
L’horreur était dans les tranchées lors de la première guerre mondiale, était dans la sophistication des armes de guerre et de la propagande morbide en 1939, elle est aujourd’hui dans l’exploitation d’un principe religieux d’un autre temps, qui autorise le viol, le meurtre, l’extermination et le génocide sur le principe d’invocations totalement morbides.
Aujourd’hui, le plus insupportable, est qu’il me semble que l’histoire se répète. Il nous sera impossible à nous autre Occidentaux comme partisans des divers régimes autocratiques et dictatoriaux qui peuplent l’ensemble des pays d’Europe de l’est, du moyen et du proche orient de dire que nous ne savions pas, que nous n’avons rien à nous reprocher. Nous sommes tous coupables des dizaines, des centaines de morts que nous laissons depuis le conflit Ukrainien…
En résumé : les hommes d'état ne veulent pas assumer leur responsabilité par souci de langue de bois, d’image et de sondages, les bourses plient, se tordent dans tous les sens, les économies se meurent et les populations doivent en subir les conséquences….
Syrie, candidats au djihad et guerre sainte.
En une semaine, la crise humanitaire n’a fait qu’amplifier en Syrie. Comme en 1939, la propagande est extrêmement bien huilée et fonctionne à plein rédime.de guerre idéologique, on est passé à une guerre sainte dont l’impact est toute aussi fort.
Ce qui me rend le plus perplexe, c’est qu’au titre de l’image et du poids médiatique, aucun dirigent important (appartenant au g8) ne soit aller parler avec bachar el assad, le président Syrien, pour déjà trouver une issue humanitaire pour les civils.
Depuis le mois de Juin, je cherche désespérément des images d’un Obama, d’un Hollande ou d’une madame Merkel atterrissant en Syrie pour aider à l’évacuation des victimes.
Cette semaine aura vu s’effondrer les bourses mondiales de plusieurs points en une séance. Et quand je dis plusieurs points, c’est plus de 3% en 6 heures. Ce qui est plutôt conséquent.
Les raisons ? Au nombre des deux principalement. Hormis quelques corrections à apporter sur le CAC40 qui est estimé comme sur évaluer par les experts des marchés, le cours du pétrole est en train de se réajuster à la baisse depuis que les uSA s’installent dans l’indépendance énergétique. A cela, vous rajoutez l’instabilité de toute la zone euro, qui prend de plein fouet le conflit en Syrie et qui ne s’est pas remis du conflit gazier entre l’Ukraine et la Russie, les investisseurs peinent à faire confiance aux marchés et donc retirent leurs investissements.
Je cultive depuis de nombreux mois maintenant cet amusement à parcourir Twitter pour découvrir et lire les commentaires télévisuels sur Twitter et cerner l’impact des Hastags sur le télespectateur.
C’est la grande tendance : toute émission se doit d’être référencée sur Twitter pour récolter les commentaires et impressions de ses auditeurs.
J’avoue que bien souvent les échanges qui s’y font sont plus proches des brèves de comptoir que d’une sociologique sur la pertinence de la pensée humaine.
En revanche, cette démarche m’a également incité à prendre le temps de regarder et découvrir des programmes que je n’aurai jamais vu sans, avec parfois de bonnes surprises…
Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine
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