« fédéralisme, parlementarisme, patriotisme »
Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine
Plusieurs éléments d’informations importants cette semaine.
Passés totalement inaperçu dans le brouhaha ambiant des média français, seuls les habitués des chaines économiques ont pu suivre en temps réel les choix stratégiques pris par les différentes forces et les différents acteurs de l’économie internationale.
A plusieurs reprises, je vous ai parlé du manque de leadership dans l’ensemble du monde.
Résultat, on assiste au retour d’un protectionnisme stratégique por un certains nombre de pays, dont les USA.
Cette crise de leadership amène, entre autre, les problématiques suivantes pour bon nombre d’états et de pays :
- poursuivre les travaux nécessaires à l’expansion des pôles de compétitivité et autres zones de chalandises
- continuer à financer les besoins liées aux dépenses public.
De plus, la réflexion porte sur les investissements porteurs, avec les secteurs privés vs secteurs publiques, sachant qu’aujourd’hui le public n’a jamais eu autant besoin du privé.
De nombreux efforts ont été demandés depuis 2008 et la crise des « subprime ».
D’abord aux banques et aux états (trésor, fisc), puis aux secteurs privés, notament avec le gèle voir la baisse de certains salaires ainsi qu’avec le hausse généralisée des prélévements et autres taxes. Ces efforts ont amené de nombreux acteurs à prendre la décision d’accroitre la maitrise de coûts.
Ce qui implique aujourd’hui :
Cette gestion du territoire doit permettre aux états de continuer à financer leurs services, comme la police, les transports, etc. Pour exemple, les USA et la Russie se battent, l’un pour renforcer son protectionnisme autour de l’énergie et de la technologie, l’autre pour convaincre ses partenaires régionaux d’accepter la protection de Moscou et de la sainte mère Russie.
Les USA ont par exemple choisi de se battre pour l’exploitation du gaz de shiste, qui ramène aujourd’hui le coût de l’énergie à – de 5$ contre 10 à 12$ par le passé.
Les USA et l’angleterre ne peuvent plus financer autre chose que le développement des grandes métropoles et mégalopoles.
Londres est de plus en plus riche, de plus en plus inaxessible pour la grande majorité des gens qui y travaillent, alors que le reste de l’angleterre s’appauvrit.
La capacité des entreprises à intervenir aujourd’hui dans la vie du foyer fiscal ainsi que du consommateur n’a jamais été aussi importante.
Les états ne pouvant intervenir que législativement, ils sont tributaires plus que jamais en période de crise, du potentiel commercial des entreprises.
L’influence de l’Asie sur les pays l’Est, comparé à la France ou l’Allemagne, dont les régions ont encore un role économique et social fort.
Ces grandes régions sont des secteurs attractifs géographiques forts : la place des entreprises et des investisseurs dans l’économie y sont très présents et conséquents. C’est ce qui permet à l’europe de pouvoir encore résister face à la crise et ressentir, pour certains états et pays, les 1ers effets de la reprise, même si elle reste faible.
Banques de dépôts, banques d’investissements, les petits comptes domestique et les prets aux comptes de d’entreprises n’ont jamais rapporté aussi peu d’argent aux banques.
Hormis l’immobilier, dont la volatilité des valeurs et des cours permet aux spécialistes et aux opportunistes de se faire la part belle en prenant le minimum de risques, dans l’ensemble le poid des paris et spéculation boursières.
Comme illustration, j’ai choisi le thème connu du « Lac des Cygnes » de Tchaikovsky
Pour conclure, je vous encourage à toujours regarder de l’avant, c’est dans vos futurs démarches que vous serez attendu….
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