Paris à tout à perdre à soutenir un camp contre l’autre : personne n’est
capable d’assurer aujourd’hui que la démocratie, évidemment souhaitée,
s’installera à Damas.
Il est même permis de redouter l’issue inverse, qui verrait les
islamistes, chassés d’Egypte par le peuple, prendre le pouvoir en Syrie
grâce aux Américains et à ses martiaux alliés.
Le risque d’un conflit mondial, mobilisant la Russie, la Chine et
l’Iran contre les partisans d’une intervention, est une hypothèse qui, à
elle seule, oblige à une élémentaire prudence.
D’ailleurs, le chef de
l’Etat a admis, mardi, que "cette guerre civile (en Syrie) menace la
paix du monde". Oui, il est urgent de ne rien faire car,
malheureusement, il est trop tard.
Suite... "cette guerre civile (en Syrie) menace la paix du monde"
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