dimanche 15 décembre 2013

Univers connecté : « Intelligence Collective, intelligence artificielle » - Revue de presse du 8 Décembre au 15 Décembre

Semaine du 8 Décembre au 15 Décembre

Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine

Univers connecté : « Intelligence Collective, intelligence artificielle »

En cette fin d’année, ce sont les performances et le flot d’informations émanants des marchés financiers et des nouvelles technologies qui m’inspirent. Je n’ai pu m’empecher de me pencher sur le phénomène de l’industrie de l’intelligence collective, partagée, du #digital, du #numérique. Même si je me m’y suis plus intéressé en temps qu’économiste, dans un intérêt purement financier et d’investisseur au début, pour comprendre le #phénomène de #consommation et pour suivre son #impact dans le monde de l’économie et le réel engoument auprès du consommateur final.

Procédons par étapes : une offre qui peut rapporter gros, un pouvoir législatif qui régule, des investisseurs qui financent ou investissent.

Un scénario idyllique, qui peut paraitre faire revé, mais dans la réalité, les stratégies sont souvent souvent beaucoup plus complexes, uniques et chaque projet porte sa propre histoire


Voici donc un scénario potentiel et possible de la manière dont fonctionne le marché...




#LeWeb #digitalevent #business #geek
Le salon international des technologies. Les passionnés de High-Tech n’ont pu passer à côté de cet événement qui fete aujourd’hui ses 10 ans. Le premier numéro eut lieu au sénat devant un parterre de quelques 250 initiés.
Aujourd’hui, le salon vit entre Londres et Paris et est exclusivement en Anglais, pour lui donner une dimension internationale. Qu’on aime on qu’on aime pas Loïc LeMeur, son organisateur, force est de reconnaitre que ce dernier a su imposer cet événement comme l’un des grands messes des événements Geeks au monde.
Pour la petite histoire, Loïc LeMeur s’est fait connaitre auprès du grand public et du monde de l’entrepreneuriat comme le monsieur Blog en France au début des années 2000, avant de migrer à San Francisco et de se rapporcher de la Silicon Valley pour etre totalement immergé dans l’univers et mle monde de l’économie numérique.





#StopArt13 #policy #government #législation #pouvoir
Ma revue de presse ne serait rien sans un petit passage par les lois de la république et quelques débats bien Franco-Français, qui permettent à nos chers élus de justifier de leur présence auprès de l’exécutif et de leurs électeurs.

La dernière ineptie en date ? Un projet de loi donnant les pleins pouvoirs au président de la république et ses sbires pour scruter quand bon leur semble notre boite mail et autres messages personnels.

Plus besoin de lancer une procédure de justice auprès d’un juge ou d’un tribunal pour avoir accès à vos données informatiques ?
C’est chose faite avec le vote par le Sénat…
- renaissancenumerique
- petition

Mais soyons clair quand même sur un point : il y a bien longtemps que l’état Français et les politiques en général à travers le monde n’attendent pas le feu vert des juges et autres magistrats pour aller enquêter sur des individus.
Et d’une façon globale, tous les moyens sont bon, quelque soit leur degré de légalité.




#économie #finance #investissement #NYSE #Nasdaq
Impossible de parler nouvelles technologies sans se pencher délicatement sur le cœur de réacteur économique qu’est la bourse et que sont les marchés.

Tout d’abord interpelé et admiratif, comme de nombreux Français, par l’évolution du cours de Iliad/Free, j’ai fini par réellement me pencher sur le phénomène de valorisation du secteur high-tech avec l’arrivée de Maissa Meyer à la tete de Yahoo il y a 1 an et par l’introduction sur le marché de Facebook ou Twitter.

Pour les coutumiers de la presse quotidienne et hebdomadaire économique, il est vrai que les valeurs et cours de bourse technologique autour du marche d’internet et du web ont pris une place particulière. Même si l’immobilier, les valeurs financières, l’informatique et le marché de l’automobile gardent une place encore toute particulière pour les accrocs de la bourse.

Depuis l’arrivée de Google sur le marché il y a 6 ans et sa filgurante progression, peu de valeurs connue du grand public n’avaient réellement fait tellement de bruit. Il est vrai que le redressement de l’image, de la réputation et des comptes de Yahoo il y a un an fut l’un des derniers titres en date a avoir retrouvé des couleurs. Même les difficultés de Facebook dans les semaines qui suivirent son introduction finirent par redonner le moral aux investisseurs et autres actionnaires, après que Zuck ait donner une nouvelle dimension à son réseau social après avoir criigé le tir sur les applications mobile.

Et la réussite de Twitter dès son premier jour d’introduction n’est que la caisse de raisonnance d’un futur à moyen terme pour ce marché, les investisseurs ayant compris où se situaient dorénavant les prises de risque sur ces nouvelles valeurs.



#Culture #cloud #digital #numerique
Comme nous sommes dans l’évolution des plate formes d’échange numérique, un petit mot en passant sur les nouvelles donnes du modèle économique musical.

Alors qu’il y a encore à peine plus de dix ans, les modèles économiques de l’industrie musicale étaient formetement influencés par les ventes d’albums physique dans le monde, internet a apporté sa part de révolution. Le téléchargement d’abord, les plate forme d’écoute gratuite ensuite comme Deezer ou Spotify ensuite, aujourd’hui une grosse partie de l’activité musicale se passe sur le web. Nombre d’entre vous, comme moi d’ailleurs, ont délaissé les magasins et les disquaires pour écouter tranquillement leur artiste préféré directement en se connectant.

Personnellement, je me souviens encore des différentes révolutions qui ont émaillé le support musical. J’ai encore le souvenir de la première platine disque que mon père acheta pour la maison et des premiers vinyls 33 tours et 45 tours qui craquèrent sous le poid du manche disque. Je me souviens aussi comme si c’était hier de mon premier magnéto K7 Philips qui me fit découvrir nombre de groupes et de chanteurs et le plaisir procuré d’aller acheté mes K7 et vynils avec les potes.

Enfin cette révolution que fut le CD. Un son d’une autre planette, un format de disque que l’on pouvait mettre dans la voiture. Nostalgie, nostalgie, même si je n’échangerai pour rien au monde ma collection de K7, vinyls et autres CD, comme il me serait impossible de me débarasser des instruements de musique qui m’ont permis de connaitre les joies du studio et de la scène. Mais comme il est aussi bon de vivre avec son temps, force est d’apprécier également la miniaturisation des supports qui permettent de stocker dans l’équivalent d’une boite d’allumette (voir même plus petit) la discographie complète de son artiste préféré.

Pour illustrer mon propos, quasiment 5 générations d’artistes peuvent tenir dans ces quelques lignes. Je vais donc esayer d’en laisser pour tout le monde, en vous invitant à réécouter ceux qui ont marqué leur époque en innovant, chacun à leur époque et dans leur style, avec la techologie du moment. De Peter Gabriel, en passant par Pink Floyd, les Rolling Stones, David Bowie, Brian Eno, U2, Manu Dibengo, Dire Straits, etc. Demandez à vos parents, ils ont surement plein d’idées eux aussi…

Le titre que j’ai choisi cette semaine et qui illustre parfaitement la transition avec le numérique, Dire Straits – Money For Nothing

Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine

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