Axelle Lemaire a annonçé en fanfare les 9 villes nominées pour le label French Tech.
Nous avons interviewé la directrice de l’incubateur Belle de Mai à Marseille pour tenter de mieux comprendre ce que peut apporter ce label aux entreprises locales.
Le label French Tech peut sembler au premier abord assez nébuleux : certes, le gouvernement ne cache pas sa volonté de mettre en avant la culture start-up au travers de cette appellation, déclinée dans plusieurs programmes de valorisation des territoires et des entreprises françaises à l’international.
Mais dans le même temps, on se demande un peu ce que ce label changera concrètement pour les entreprises : celui-ci n’est pas synonyme de financements de la part de l’État, ni d’un quelconque statut particulier.
D’où la question qui se pose : à quoi rime la French Tech ?
Pour Céline Souliers, directrice de l’incubateur la Belle de Mai à Marseille, le résultat est déjà perceptible. « Depuis l’annonce mercredi, on a reçu beaucoup de contacts de la part de journalistes intéressés par nos projets et on constate un réel gain en visibilité médiatique », explique-t-elle à ZDNet.fr.
Plus qu’un coup de pouce, le label French Tech se présente donc comme une distinction des villes ayant déjà développé des écosystèmes « vertueux » pour les entreprises. (Lire la suite)
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