"Si les Grecs ne parviennent pas à un accord avec l'UE sur leur dette, s'ils finissent par faire défaut -non remboursement-, voilà la meilleure manière de limiter les dégâts."
Le risque financier entourant les dettes de la Grèce soulève la question de savoir si (et quand) le pays entrera en défaut.
De toute évidence, il serait beaucoup moins dommageable pour la Grèce et ses créanciers de s'entendre sur une solution négociée.
À l'heure où les dirigeants grecs réfléchissent aux différentes options, ils feraient bien de garder à l'esprit combien il existe de meilleurs et de moins bonnes manières de faire défaut sur une dette souveraine - notamment si l'État concerné entend rétablir au plus vite un certain degré de solvabilité.
Dans les prochaines semaines et les prochains mois, le gouvernement grec aurait tout intérêt à faire preuve de sagesse en respectant trois principes guides :
- Éviter l'invective
- Être capable de s'expliquer
- Rembourser certaines dettes
Lire la suite: Il est même possible de faire encore appel à certains créanciers
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