En écoutant la presse et les média ces derniers jours, l’une de mes principales réflexions portaient sur la pertinence aujourd’hui du débat politique, de la réalité de son impact et de la valeur de son image.
A une époque ou la classe politique est décriée dans son ensemble dans les média, il m’apparait comme nécessaire de la voir évoluer au travers de ses codes, son langage, sa communication.
Que ce soit sur le plan international ou national, on sent que les politiques ont de plus en plus de mal à se faire entendre et à etre compris.
Je n’oserai affirmer qu’eux même ne comprennent pas le monde qui l’entoure, mais il est un fait que le caractère carriériste de beaucoup les déconnecte de la réalité quotidienne de leurs concitoyens.
C’est un sujet qui m’interpelle de plus en plus. Il m’interpelle d’autant plus depuis la fin des années 70, il semblerait que le risque ne soit plus à l’ordre du jour.
Il est clair que le poids du secteur privé n’a jamais pesé aussi lourd dans l’économie. Depuis la crise de 2008, ce sont vraiment les entreprises qui tiennent l’économie, emplois et investissements futurs à bout de bras. J’attends dons plus de courage et de convictions de la part des pouvoirs publiques, si ces derniers veulent jouer le rôle qu’ils se prêtent, pour faire avancer et évoluer le modèle économique social Français….
Comment vous dire : je n’arrive pas à me faire une raison pertinente à cette info. Plutôt fatigué par le débat politique en général. La question que je me pose est plutôt : « que doit devenir le milieu et le débat politique Français et International pour redonner une réelle envie aux citoyens de s’intéresser à la politique et de retrouver le goût du débat d’idées pour une représentation nationale seine ?? »
éternel sujet, éternel bras de fer. Le petit monde des syndicat, qui se bat depuis des décennies pour ne pas s’entendre et garder son petit pouvoir d’influence sur sa base. Le plus surprenant, c’est qu’il y ait des gens pour encore tomber dans le panneau.
A quand une France qui sortira de ce jeu de dupe souverainiste et qui aura l’audace d’admettre qu’un pays qui défend une législation datant de plus de 30 ans ne peut plus etre en phase avec la réalité économique.
Certes, il ya l’image dans l’opinion du petit salarié soumis face au grand vilain méchant patron qui s’en met plein les poches, mais soyons clair : la grande majorité des patrons ne gagne pas beaucoup plus que leurs salariés malgré les risques pris et les patrons ou entrepreneurs qui possèdent de grandes fortunes ne sont pas si nombreux que ça.
Bref, réformons ce code du travail qui n’apporte plus rien à personne, qui est un vrai handicap pour l’emploi et faisons en sorte d’unir les forces de l’entrepreneuriat pour faire avancer l’économie. Pour ceux qui vivent l’économie de marché comme une réalité quotidienne, je cite nommément les entrepreneurs, la création de richesse.
Que les fans de la pomme se rassurent, le prix du dernier n’a pas baissé. Ils devront continuer à mettre la main au portefeuille pour s’offrir leur petit joujou virtuel. Ce qui est rare est cher. Ce qui est cher n’est pas forcément rare mais peut-etre également le fruit d’une brillante campagne de com.
Personnellement, je commence à être un peu horrifié par ces campagnes Apple.
Charlélie Couture live à la Gaïté Lyrique
Revue de presse en partenariat avec Chabadda Magazine
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